Vous avez peut-être entendu parler de menaces pour nos libertés liées aux contenus des vaccins à venir.
Alors pourrait-on nous identifier et tracer nos déplacements en nous injectant dans le sang des nanoparticules (ou nanorobots ou nanonimportequoi, peut-importe le nom que leur donne les savants) ?
OUI ! L’expérience a été testée en Grande-Bretagne en 2014. Elle a permis de suivre une personne sur le continent européen et en Afrique saharienne. Avec d'autres privilégiés, j’ai pu le constater de visu. L’inoculation a été faite en quelques secondes, pareille à une simple injection de vaccin, les nanoparticules se trouvant diluées dans quelques millilitres de liquide.
À partir de là, on entre dans le domaine du « Top secret » !
Ne me demandez pas comment ces nanoparticules arrivent à communiquer avec leur base. Peut-être par les réseaux de téléphones mobiles. Qui sait, peut-être est-ce là le principal intérêt de la 5G ? Même si en 2014 ce type de réseaux n’existait pas. Quant à l’Afrique saharienne, il n’y a pas de couverture... Alors ? Téléphone satellitaire ? Fonction secrète d’une constellation de satellites GPS ? Mystère.
Ne me demandez pas non plus comment elles se mettent d’accord entre elles, pour décider qui va passer l’appel pour éviter la cacophonie, l’entropie hertzienne n’est pas ma spécialité. Parce qu’il est évident qu’il faut en injecter un grand nombre dans le sang, sinon par quelques attaques ciblées et non toxiques pour le porteur, des terroristes anarcholibertaires pourraient les neutraliser et libérer cette personne. Mystère, là encore !
Quant à savoir qui dispose de cette technologie. De sûr, l’Angleterre, qui a fait le test. Des rumeurs prétendent que leur Premier ministre actuel, le Lazare de Downing Street, l’aurait fournie aux US contre un soutien actif du twittoPrésident. Pour le reste, mystère de chez mystère !
Si vous voulez en découvrir plus, l’expérience est intégralement décortiquée dans le très bon documentaire de S. Mendès nommé « Spectre » sorti en 2015. On doit pouvoir encore le trouver en cherchant bien.
La petite anecdote bonus de l’oncle Paul, le réalisateur aurait donné ce titre à son documentaire en référence à un film des années 60, où le gentil héros rencontrant l’horrible méchant, serviteur d’une organisation secrète menaçant le monde, avait cette réplique « J’ai cru discerner un spectre au-dessus de votre épaule ».
Alors n’oubliez pas, à qui profite le crime et que la solution la plus simple est quasiment toujours la vraie !
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